Préface.
Photographier, c’est tenter de retenir ce qui fuit. Apprivoiser l’éphémère pour lui donner une forme. Parfois une mémoire.
Photographier un mariage, ce n’est pas illustrer la joie. C’est en documenter la tension. S’approcher, regarder, retenir.
La Provence sèche, Paris élégiaque, l’Italie solaire, l’Écosse hantée.
Même matière : les vivants.
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On a parlé de mon travail sur France Inter, dans Le Figaro. J’ai publié deux livres. Des traversées visuelles. Ni guides, ni portfolios. Des fragments du monde.
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J’écris une newsletter.
Pas pour vendre.
Pour transmettre.
Des lectures, des films, mes disponibilités.
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Je suis aussi photographe dans la réserve de l’armée de terre.
C’est un autre terrain. Celui de l'ordre, de l'harmonie, du panache et de la poésie rythmée.
Photographier l’armée, c’est rendre hommage à ce qui tient debout, c’est l’hymne à la citadelle intérieure si chère à Saint Exupéry.
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Derrière chaque histoire que je photographie, il y a Inès.
Pas juste en coulisses, pas juste un soutien : une pièce essentielle du puzzle.
Inès, c’est la première personne à qui vous parlerez. Elle répond, éclaire, rassure. Elle connaît chaque détail de ce que nous allons vivre ensemble. Elle est là pour que vous vous sentiez en confiance dès le premier mail, et jusqu’au dernier cliché.
Elle veille à ce que tout soit simple, fluide, organisé. Ni stress, ni zones floues : elle pose les repères qui permettent de profiter, tout en sachant que chaque moment important sera capté dans les meilleures conditions.
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Et si vous avez envie de vivre cette journée avec plus de légèreté, on peut aussi aller plus loin: Inès peut vous accompagner plus directement, en m'accompagnant le jour J.
Elle devient un second regard, et à deux, on voit tout: une lumière à ajuster, un détail à capter, une robe à replacer, un bouquet oublié, une épingle qui tient mal. Elle anticipe, sans jamais s’imposer. Cela vous permet de déléguer l’intendance, pour vous concentrer sur l’essentiel : être là, vraiment, et vivre pleinement.
Elle est là pour que tout se passe bien — pour vous, pour nous, pour les images. Et croyez-moi, sa présence fait toute la différence.
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